
Le quotidien Sidwaya consacre un dossier à Afrique Compétences
C’est avec beaucoup d’enthousiasme et de fierté que nous avons découvert ce dossier détaillant l’activité d’Afrique Compétences.
C’est avec beaucoup d’enthousiasme et de fierté que nous avons découvert ce dossier détaillant l’activité d’Afrique Compétences.
Deux hommes d’affaires, un Algérien et un Congolais, discutent business autour d’un verre à Paris. Parlant des difficultés auxquelles sont confrontés chefs d’entreprise et particuliers dans son pays, le Congolais évoque une situation qui frise l’absurde. « Si vous allez au fin fond du Congo, vous n’aurez aucune difficulté à trouver un réseau téléphonique. En revanche, si la batterie de votre téléphone est déchargée, vous êtes paumé… Parce que vous ne pourrez pas la recharger faute d’électricité. »
Deux hommes d’affaires, un Algérien et un Congolais, discutent business autour d’un verre à Paris. Parlant des difficultés auxquelles sont confrontés chefs d’entreprise et particuliers dans son pays, le Congolais évoque une situation qui frise l’absurde. « Si vous allez au fin fond du Congo, vous n’aurez aucune difficulté à trouver un réseau téléphonique. En revanche, si la batterie de votre téléphone est déchargée, vous êtes paumé… Parce que vous ne pourrez pas la recharger faute d’électricité. »
Deux hommes d’affaires, un Algérien et un Congolais, discutent business autour d’un verre à Paris. Parlant des difficultés auxquelles sont confrontés chefs d’entreprise et particuliers dans son pays, le Congolais évoque une situation qui frise l’absurde. « Si vous allez au fin fond du Congo, vous n’aurez aucune difficulté à trouver un réseau téléphonique. En revanche, si la batterie de votre téléphone est déchargée, vous êtes paumé… Parce que vous ne pourrez pas la recharger faute d’électricité. »
Deux hommes d’affaires, un Algérien et un Congolais, discutent business autour d’un verre à Paris. Parlant des difficultés auxquelles sont confrontés chefs d’entreprise et particuliers dans son pays, le Congolais évoque une situation qui frise l’absurde. « Si vous allez au fin fond du Congo, vous n’aurez aucune difficulté à trouver un réseau téléphonique. En revanche, si la batterie de votre téléphone est déchargée, vous êtes paumé… Parce que vous ne pourrez pas la recharger faute d’électricité. »
Deux hommes d’affaires, un Algérien et un Congolais, discutent business autour d’un verre à Paris. Parlant des difficultés auxquelles sont confrontés chefs d’entreprise et particuliers dans son pays, le Congolais évoque une situation qui frise l’absurde. « Si vous allez au fin fond du Congo, vous n’aurez aucune difficulté à trouver un réseau téléphonique. En revanche, si la batterie de votre téléphone est déchargée, vous êtes paumé… Parce que vous ne pourrez pas la recharger faute d’électricité. »
Deux hommes d’affaires, un Algérien et un Congolais, discutent business autour d’un verre à Paris. Parlant des difficultés auxquelles sont confrontés chefs d’entreprise et particuliers dans son pays, le Congolais évoque une situation qui frise l’absurde. « Si vous allez au fin fond du Congo, vous n’aurez aucune difficulté à trouver un réseau téléphonique. En revanche, si la batterie de votre téléphone est déchargée, vous êtes paumé… Parce que vous ne pourrez pas la recharger faute d’électricité. »